Barbarismes
Vers les midis, preu ou pou du côté du parc Monceau, sur la pâle-forme arrière de l'austrobuste de la ligne S quarrément complet, dans l'aéropage j'apercevis un jeune gensse au long cou, coiffé d'un freutre mou entouré d'un galion au lieu d'un ribambeau, tout caparaçonné qui l'était . Il interpélit son voisin en prétextendant qu'il lui écrabrouillait les pieds sous le prétestre que des passangers montaient et descendaient. Faillait-i qu'i soye escaxerbé ! L'aut', i mouftait pus devant l'opprobe. Je croivais que cela allait finir au commissairiat... Un vrai dilemne ! Pis, i s'jettut sur une place inoccuplée. On était rassérenés. C'est moi qui a dit alorsse à la cantonale : « Quel frustre nindividu ! »Deux heures plus tard, v'là-ti pas que je le revoye, devant la gare Saint-Falzar avec un ami. Une vraie obnubilation ! Je me disa qu'il faillait mieux que l'oublie... Son ami lui disa de déminuer l'écranchure de son pas-dessus en remontant le bouton suprérieur.